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    Le 01 - 10 - 2013

    Le lac d'Aiguebelette

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    A tous les courageux qui liront l'article qui suit, je dis bravo
      
    Cet article vaut la peine d'être lu !
     
      
      
    Le lac d'Aiguebelette
      
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    Le lac d'Aiguebelette, qui signifie « belles petites eaux », ou parfois Lac Vert, est un lac naturel de l'Avant-Pays savoyard, dans l'extrémité sud du massif du Jura français. C'est un lac privé qui appartient à la famille de Chambost et à EDF qui ont confié sa gestion à la Communauté de Communes du Lac d'Aiguebelette.

    Situé à environ 10 kilomètres de Chambéry (Savoie), le lac d'Aiguebelette, avec une superficie de 545 hectares, est le cinquième lac naturel français, après le lac Léman, le lac de Hourtin et de Carcans, le lac du Bourget et le lac d'Annecy. Bordé à l'est par la chaîne de l'Épine qui culmine avec le mont Grelle à 1 425 mètres et à l'ouest par le mont Tournier, sa profondeur maximale est de 71 mètres. Au premier regard, il se caractérise par sa couleur souvent verte, alors que le lac d'Annecy est plus bleu et le lac du Bourget plus souvent gris acier.

    Les rives du lac se partagent entre cinq communes riveraines : Aiguebelette, Lépin-le-Lac, Saint-Alban-de-Montbel, Novalaise et Nances. Dans la partie sud du lac se trouvent deux îles entourées de roselières.

    Géographie

    Sur la carte ci-contre, on distingue bien les trois fosses du lac :
    la fosse nord, près du lieu-dit « La Combe » (50 mètres) ;
    la fosse sud-est (71 mètres), non loin du port d'Aiguebelette ;
    la fosse sud-ouest, entre les îles et Lépin.

    Volume d'eau : 166 millions de mètres cubes.

    Le lac a gelé complètement lors des hivers 1909, 1929, 1941, 1942 et 1956.

    Le déversoir naturel du Lac d'Aiguebelette est le Thiers, un affluent de la rive droite du Guiers.

    Formation géologique

    Selon Michel Tissut, le mécanisme de formation du lac d'Aiguebelette est très comparable à celui du lac du Bourget :
    1.À l'ère secondaire (Jurassique et Crétacé inférieur), des masses énormes de sédiments se déposent en milieu marin.
    2.À l'ère tertiaire, les reliefs commencent à sortir de la mer. Dans la fosse de Novalaise, lagune peu profonde, la molasse se dépose, le plissement amène la montagne de l'Épine et la chaine du mont Tournier (anticlinaux) à leur altitude actuelle.
    3.À l'ère quaternaire, le glacier würmien surcreuse une cuvette au pied de la grande faille de l'anticlinal de la chaine de l'Épine. À cette époque, la glace atteint une altitude de plus de mille mètres, rabotant ainsi les reliefs et façonnant les cols de l'Épine et du Crucifix.
    4.À la fonte des glaces, le lac se remplit. La moraine, au nord, les collines molassiques au sud, les anticlinaux, à l'est et l'ouest, délimitent la cuvette. L'eau va s'écouler par le point le plus bas, qui est une zone de faille dans l'anticlinal du Mont Tournier.

    Histoire des hommes

    Des pieux enfoncés dans des zones peu profondes, sur la commune de Lépin, vestiges d'habitations sur pilotis, ou « palafittes », attestent d'une présence humaine dès l'époque néolithique et de l'âge du bronze. C'est au milieu du XIXe siècle que des archéologues ont découvert l'existence de ces cités lacustres.

    Par la suite, la région du lac d'Aiguebelette a été tantôt un lieu de passage ouest-est, tantôt un pays en marge. Une voie romaine passait par la rive sud du lac avant de gravir la côte du col Saint-Michel et de redescendre sur Chambéry qui s'appelait alors Lemencum. Cet itinéraire, direct, mais escarpé, était concurrencé par d'autres voies au nord (col du Chat) et au sud (Les Échelles), sans doute plus fréquentées si l'on en croit la pauvreté des vestiges archéologiques romains trouvés à Lépin comparés à ceux que l'on trouve vers Saint-Pierre-de-Genebroz et qui correspondent à la route des Échelles.

    Le lac d'Aiguebelette aux alentours de 1860

    Selon André Charvet, l'itinéraire du col Saint-Michel est resté de loin le plus fréquenté pour joindre Chambéry jusqu'à la fin du XVIIe siècle. Au début du XVIIe siècle, pour un quart d'écu, des porteurs aident les voyageurs à franchir le col. Le seigneur de Villamont, qui emprunte le passage en 1588 estime qu'il est suffisamment bien gardé pour protéger le voyageur « des ours et autres bêtes sauvages » que l'on trouve dans les bois. À partir de 1665, sous le règne de Charles-Emmanuel II, duc de Savoie, de grands travaux furent initiés pour aménager la route des Échelles qui avait le grand avantage d'emprunter le col de Couz, 300 mètres plus bas que le col Saint-Michel. Désormais Aiguebelette ne sera plus un lieu de passage.

    Avant 1860 en effet, le Lac d'Aiguebelette n'est pas en France, mais en Savoie, à quelque quinze kilomètres de la frontière avec la France, délimitée par le Guiers. Au XVIIIe siècle, les contrebandiers sont nombreux, et le plus connu est Mandrin. On peut imaginer qu'un certain nombre des compagnons de Mandrin étaient originaires des rives du lac, mais ceci n'est pas attesté.

    Au Moyen Âge, selon Yvonne Coudurier, la montagne de l'Épine fait partie du fief des seigneurs de Montbel qui dominaient la majeure partie de l'Avant-Pays savoyard, alors que Lépin, Aiguebelette et le lac faisaient partie du fief des seigneurs d'Aiguebelle qui avaient leur château au village d'Aiguebelette. Le nom d'Aiguebelette viendrait ainsi d'Aiguebelle.

    Bien qu'à partir de la fin du XVIIe siècle, l'ensemble du trafic ouest-est ait été détourné sur la voie des Échelles, la voie directe par les rives sud du lac n'a jamais été abandonnée et l'ancienne voie romaine devenue « Voie sarde » est restée entretenue. Un poste de la ligne de télégraphie Chappe Paris—Milan est construit en 1805 au col de l'Épine, au-dessus du lac1. Pendant deux siècles, les communes du sud du lac, Lépin et Aiguebelette ne connaissent donc qu'un isolement relatif qui est rompu en 1884 par l'ouverture de la ligne de chemin de fer Lyon-Chambéry. Un tunnel de 3 310 mètres avait été percé entre Aiguebelette et Saint-Cassin-la-cascade. Alors qu'auparavant, les pourtours du lac étaient une région strictement agricole, l'arrivée du chemin de fer favorise le développement d'une petite activité touristique : les hôtels-pensions-restaurants se multiplient. Les Lyonnais forment une grosse partie de la clientèle. On voit apparaître également un certain nombre de résidences secondaires. Après la Seconde Guerre mondiale, les activités touristiques sont dominées par le camping et le caravaning et de nombreux camps sont installés autour du lac, avec une clientèle fidèle de Néerlandais de juillet à août.

    Dans les années 1960, la route nationale RN 6 est bloquée aux périodes de pointe par de terribles bouchons au tunnel des Échelles. Pour résoudre le problème, en 1974, on ouvre à la circulation l'autoroute A43 qui relie Lyon à Chambéry en passant très près de la rive nord du lac avant de s'enfoncer dans un nouveau tunnel creusé sous la montagne de l'Épine. Cette autoroute permet un accès plus facile au lac, mais elle engendre une série de menaces pour l'équilibre écologique du lac : déversement des sels de déglaçage et résidus de pneumatiques.

    En mettant les communes riveraines du lac à moins de 15 kilomètres de l'agglomération chambérienne, l'autoroute transforme celle-ci en zone périurbaine. Au début du XXIe siècle, la population des communes qui avaient connu une décroissance constante correspondant à l'exode rural repart à la croissance. C'est un phénomène de rurbanisation qui se traduit par la construction de nombreuses habitations principales dans les communes riveraines.

    Protection

    Le lac d'Aiguebelette est inscrit à l'inventaire des sites classés depuis 19302. Le site est aussi proposé Natura 2000 en 2002 et ZNIEFF de type I3.

    Faune et flore

    Poissons

    La présence de diverses espèces de poissons dans le lac résulte à la fois d'équilibres naturels et de l'activité prédatrice des pêcheurs et de celle, compensatrice, de la société de pêche qui reconstitue chaque année les réserves d'alevins (alevinage). Les poissons du lac les plus courants sont les poissons blancs (ablette, gardon, rotengle, brème, carpe, tanche), les perches, les brochets, les lottes et les Salmonidés : (omble, truite et lavaret).

    Dès l'arrivée du froid, les ablettes du lac se regroupent en bancs qui se déplacent vers le Gua ou vers le déversoir ou vers le port d'Aiguebelette, probablement parce que l'eau y est moins froide et la nourriture moins rare. Non seulement les ablettes doivent assurer leur survie, mais elles doivent se garder de leur deux grands prédateurs, les brochets et les pêcheurs. Heureusement pour la préservation de l'espèce, leur pouvoir de reproduction peut être très fort dans des conditions favorables, mais c'est néanmoins l'alevinage qui assure la forte représentation de l'espèce dans le lac.

    Alors que le brochet chasse en eau peu profonde, à proximité des roselières, la truite, qui s'alimente surtout de nuit concurrence peu le brochet car elle chasse en eau plus profonde. Dans le lac, on trouve des truites arc-en-ciel, récemment introduites et des truites de lac, vivant discrètement en eau profonde, à l'abri des lignes des pêcheurs.

    Les perches, très recherchées par les pêcheurs, sont à la fois en concurrence avec les lavarets, les lottes et les brochets.

    L'omble chevalier n'a été introduit dans le lac que dans les années 1970. Sa reproduction qui doit avoir lieu à plus de cinquante mètres de profondeur est possible dans les grandes fosses du lac.

    Le lavaret, lui ne vit qu'en profondeur, en eau suffisamment oxygénée, sauf au moment de la fraie ou il monte en surface. Assez abondant dans le lac, il représente une prise de choix pour les pêcheurs expérimentés du lac d'Aiguebelette.

    La lotte, beaucoup plus rare, n'est pratiquement pas pêchée à la ligne. C'est un poisson de fond dont quelques spécimens seulement se prennent à la ligne de fond.

    Oiseaux
    la foulque macroule est abondant sur les rives du lac, sauf pendant l'hiver ;
    le grèbe huppé, est l'oiseau le plus visible du lac ;
    le canard colvert.
    le cygne tuberculé
    le héron cendré
    la poule d'eau

    Plantes de la zone humide[modifier le code]
    Nénuphar
    Grande salicaire
    Houblon
    Aune glutineux

    Problèmes écologiques[modifier le code]

    L'étude d'un lac relève d'une discipline que l'on appelle la limnologie, fondée à la fin du XIXe siècle par François-Alphonse Forel.

    Stratification et oxygénisation des eaux du lac[modifier le code]

    Le lac d'Aiguebelette est stratifié, d'avril en décembre, en deux couches, l'épilimnion, couche de surface, d'une dizaine de mètres de profondeur, et représentant environ le tiers du volume total du lac, et l'hypolimnion qui se trouve en dessous. Ces deux couches réalisent peu d'échanges entre elles.

    Au printemps et en été, l'épilimnion dont la température s'élève sous l'action de la lumière solaire devient le siège d'une activité du phytoplancton, des végétaux microscopiques qui utilisent la lumière solaire pour faire de la photosynthèse et donner ainsi une couleur verte à certaines zones du lac. Des études ont montré la présence de 93 espèces différentes de phytoplancton. En plus du phytoplancton, l'épilimnion est également habité par du zooplancton, animaux microscopiques, et des poissons. L'ensemble de ces êtres vivants consomme de l'oxygène. À la belle saison, il y a plus d'oxygène généré par la photosynthèse que d'oxygène consommé par les êtres vivants.

    L'hypolimnion qui ne reçoit pas de lumière reste toute l'année à une température très basse (5 à 6 degrés). Pendant la belle saison, le zooplancton qui y habite consomme de l'oxygène ainsi que les sédiments organiques qui s'oxydent. Certains espèces particulières de poissons comme les corégones et les ombles chevaliers habitent également dans l'hypolimnion.

    Pour que l'hypolimnion ne s'appauvrisse pas totalement en oxygène, il est donc nécessaire que les eaux des deux couches se mélangent. Pour le lac d'Aiguebelette, ceci se produit normalement en hiver lorsque la température de l'épilimnion descend suffisamment bas pour atteindre celle de l'hypolimnion. À température égale, les eaux des deux couches peuvent se mélanger. Le mélange est également favorisé par les tempêtes et les crues des ruisseaux qui se jettent dans le lac, les émissaires.

    On considère que le lac est en bonne santé, ou encore oligotrophe lorsque les deux couches sont bien oxygénées et que par conséquent les différentes espèces végétales et animales peuvent y vivre aussi bien en surface qu'en eaux profondes. Sinon, on parle d'un processus d'eutrophisation. Y a-t-il risque d'eutrophisation pour le lac d'Aiguebelette ?

    Risque d'eutrophisation

    Phosphates[modifier le code]

    Depuis les années 1970, une règlementation assez stricte a imposé l'installation d'égouts tout autour du lac. De ce fait la pollution d'origine humaine a été considérablement réduite, et l'agriculture est la source majeure de déversement de phosphates dans les eaux du lac. Les phosphates favorisent la production d'organismes végétaux : un peu de phosphate est nécessaire pour la production de phytoplancton et, donc, de l'oxygénisation de l'eau, mais trop de phosphates rendent possible la production d'une telle quantité de phytoplancton et d'algues que la transparence de l'eau en est altérée et que la lumière est arrêtée en surface. De plus, une partie des algues et du plancton qui se développent est toxique.

    Pour qu'un lac ne devienne pas eutrophe, on admet, selon Michel Tissut, une limite de 0,01 mg/l pour la teneur des eaux en phosphates. Dans le lac d'Aiguebelette, cette teneur était en 1974-1976 de 0,02 mg/l. Elle était redescendue à 0,01 mg/l en 1984. À titre de comparaison, dans le lac du Bourget, la teneur était montée à 0,4 mg/l en 1978. La pollution en phosphate a donc été moins importante qu'ailleurs dans le lac d'Aiguebelette. En 2011, les études menées par l'INRA de Thonon les Bain de 1999 à 2010 montre que le lac d'Aiguebelette est en bonne santé et proche d'un état oligotrophe4.

    Sels de déglaçage

    Depuis 1974, date d'ouverture de l'autoroute A43, la teneur du lac en chlorures passe de 3-5 mg/l à 8-9 mg/l. En première approche, il n'y a pas lieu de considérer qu'une telle concentration pourrait avoir des effets dommageables sur la potabilité de l'eau ou sur des équilibres écologiques, mais on a observé, en 1984, l'amorce de la formation d'une « sous-couche » localisée, dont la concentration en chlorure atteignait les 10 mg/l. Selon Michel Tissut, l'implantation durable d'une sous-couche plus dense que la moyenne du lac pourrait limiter le brassage des eaux à la couche supérieure et aurait des conséquences néfastes pour l'oxygénisation du fond.

    Menaces sur les roselières

    Une grande partie des rives du lac est occupée par des roselières. Les deux îles, en particulier, sont complètement entourées de ces roselières. Les roseaux se propagent par bourgeonnement des rhizomes. La base des tiges est immergée à faible profondeur. L'enchevêtrement des rhizomes et des racines constitue l'habitat naturel des écrevisses. Les brochets viennent y frayer. Les roseaux ont un rôle épurateur, c'est la raison pour laquelle leur destruction est interdite. Néanmoins, le développement des campings et la recherche de nouveaux accès au lac entraînent chaque année la destruction de nouvelles roselières.

    Activités touristiques et sportives

    Le lac d'Aiguebelette, en hiver, vu du hameau du Puits (Lépin-le-Lac)
    De nombreux pêcheurs, occasionnels ou plus réguliers s'adonnent à leur occupation favorite — en amateurs uniquement — car le commerce du poisson du lac est interdit.

    Le calme plat régnant la majorité du temps, le lac, impropre à la pratique des sports de voile, est équipé d'une base d'aviron (sport), créée en 1981, à la place de l'ancienne villa de l'écrivain Frédéric Dard/San-Antonio, où viennent s'entraîner des équipes de haut niveau. Un arrêté préfectoral de 1976 interdit l'usage de bateaux à moteurs sur le lac. Le lac a été choisi pour les championnats du monde d'aviron de 1997 et de 2015.

    La chaîne de l'Épine, sur le rive nord du lac, a été équipée d'une via ferrata dite De la tête de cheval, interdite d'accès depuis 2005 pour des raisons de sécurité. Le parapente est très présent, avec un décollage de la crête de l'Épine, les parapentistes pouvant venir se poser près du lac.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Lac_d'Aiguebelette
     

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  • Commentaires

    1
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 00:33

    Ma chère Méline,

    Ce lac  au nom poétique se dévoile à travers tes magnifiques photos, peintures dans le paysage où le bleu rayonne dans l'azur avant de se mêler aux vertes nuances de l'eau. Un lieu magique où l'on doit ressentir la beauté des choses et des éléments et se relier à une histoire des plus riches et passionnantes. J'ai lu le texte avec gourmandise, tu t'en doutes. Le nom du lac m'a attirée au premier regard. J'aime le mot "aigue", l'eau devient bijou à travers ses sonorités. L'eau montre une fois encore son importance primordiale dans la vie des humains qui construisent leurs cités en fonction des cours d'eau et des vastes étendues aquatiques. Un lieu très riche à explorer. La poésie  des lieux est dans chacune de tes photos, telle une nymphe aux yeux d'émeraude, gardienne des secrets du temps...

    La faune et la flore sont luxuriantes. La vie règne ici, avec ses beautés enchantées et ses fascinantes ambivalences...

    Merci pour ton adorable message, mes névralgies oculaires se sont apaisées (pour le moment), je ne force pas trop sur mes yeux, j'espère que ta fille se repose bien et qu'elle va mieux. Je pense à toi, je t'espère reposée aussi. Gros bisous ma chère Méline, je te souhaite une bonne nuit, avec mes amicales pensées!

    Cendrine

    2
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 06:58

    beau la Savoie....et de belles photos.......... !!!   et très bonne journée....au soleil

    3
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 07:32

    Hello Meline

    Merci pour la decouverte , un endroit et une adresse à retenir quand on passe prés de Chambery...

    bizz

    pat

    4
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 07:54

    Coucou Méline,

    Il est superbe ce lac et bien aménagé pour les touristes. Un lieu de rêve pour des vacances d'été. Merci pour ces prises de vus magnifiques et pour tes explications fort intéressantes.

    Bises et bon mercredi. Caresses à Gena. ZAZA

    5
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 07:55

    Bonjour ma petite Méline...

    Toujours du bonheur de venir te souhaiter un bon mercredi et te donner de gros bisous  ♥  De magnifiques photos d'un superbe endroit ♥

    Je suis heureuse que tout va mieux pour toi et tes enfants, l'angine d'Isabelle ne sera bientôt plus qu'un mauvais souvenir...

    Ici pour le moment, il fait un peu brumeux et je pense que nous allons avoir une journée entre soleil et nuages, c'est ce qu'il ont annoncé  !

    Gros câlins à ta gentille Gena ma douce ♥

    6
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 08:26

    et bien voila un article complet sur l' origine de ce lac de sa formation à aujourd' hui !

    Intéressant de lire son histoire, au moment où le giec prétend que si la planète se réchauffe, c' est uniquement dû à l' homme.

     en tout cas, ce lac, est bien protégé !

    Merci pour les photos aussi

     bonne journée Méline

     gros bisous

     

    7
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 09:43

    Bonjour très chère Amie Méline

    Grand merci pour ta relecture, je suis ravi que mes élucubrations sur la lettre T, t’aient fait rire.

    Pour répondre à ta question, ma rééducation est commencée et j’en suis à la troisième séance, la quatrième étant pour ce matin 10 heures.

    La première fut pour faire un constat que le kiné a jugé lourd et il a diagnostiqué la première cote déplacée qu’il a aussitôt remise et la clavicule enfoncée vers le cou et remontant en diagonale vers la jonction du bras qu’il a remise en trois fois pour éviter de trop fortes douleurs, en parallèle, il a travaillé sur le circuit tendineux et musculaire avec des pinces, des ventouses, de la pommade et du massage ponctuel.

    Il a essayé une rééducation douce, mais a abandonné vu l’état d’inflammation encore trop avancé.

    Il prévoit de me faire commencer les tractions de rééducation cette semaine.

    Question douleurs, il me reste quelques points très douloureux et je ne peux pas faire certains mouvements et pour dormir, je suis toujours sur la banquette et je ne peux faire pas plus de deux heures de somme puisqu’après cela me réveille d’avoir trop mal. J’ai reconduit pour la première fois samedi, un essai d’un petit trajet pour voir si je pouvais faire mes vacations du genre me rendre chez le kiné, allez au pain et faire quelques courses et déplacements en ville, parce que cela me gênait de solliciter une amie, d’autant plus qu’elle ne voulait pas que je la dédommage en essence alors qu’elle est déjà dans la merde.

    Pour ton article, je trouve que ce lac est magnifique et moi qui est pêcheur à l’occasion, je pense que je pourrais organiser de belles parties à ceci dit d’y ajouter la baignade, Monique adore et si possible faire le tour à vélo, ce que nous faisons habituellement lors de nos visites de lacs.

    Je peux te rassurer, je suis un pêcheur sportif et je prends soin des poissons en les rejetant dans leur milieu naturel, ceci pour répondre à la suite de l’article qui fait mention des pêcheurs prédateurs.

    Un historique plus que détaillé nous fait percevoir le devenir de ce lac et à priori, il semblerait que le premier danger considéré comme important, serai le sel répandu sur l’autoroute.

    Merci pour cet article de qualité, fort bien détaillé qui nous fait comprendre l’intérêt à porter à de tels sites de biodiversité

    Je te souhaite une très bonne journée Méline et je t’embrasse bien affectueusement, en espérant que ta fille va beaucoup mieux et que tu te remontes la pente avec énergie.

    Le Noctamplume

    8
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 10:10

    bonjour Méline, il est magnifique ce lac ,un bel article ,comme toujours 

    passe une agréable journée gros bisous

    9
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 10:23

    Bonjour Méline,

    Wouahhh comme c'est joli.

    Qu'il doit faire bon de passer un petit séjour au bord de ce lac.

    Cela me rappelle petite mes parents avaient une caravane, on partait trois semaines en vacances chaque été, et du mois d'avril au mois de septembre ils l'entreposaient dans un camping au bord d'un lac, que de bons moments on passait tous ensemble en famille le week end. J'aimais aussi me baigner en Alsace dans les lacs de montagne un peu frais, il faut dire qu'il n'y avait pas beaucoup de monde qui s'y hasardait

    Bon mercredi

    Bisous ensoleillés du sud

    10
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 10:48

    bonjour méline
    je viens de lire ton article qui est bien instructif car je ne connaissais pas l'existence de ce lac
    comme toujours de superbes photos
    Le temps est encore mi-figue mi-raisin aujourd’hui mais  la température reste douce
    Je te souhaite  de passer une bonne journée
    je t'embrasse très fort

    11
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 10:57

    bonjour Méline,

    Je ne connaissais pas ce lac, seulement le lac d'Annecy , vu que nous n'avions pas notre voiture à Annecy quand mon mari y travaillait. Grâce à toi, je vais pouvoir voir les alentours d'Annecy.....merci pour ton beau reportage.

    Passes une bonne journée.

    gros bisoussssssssssssss

    12
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 11:42

    Tu sais que les montagnards sont courageux
    J'ai tout lu trés chère Méline pourtant j'ai mal aux yeux
    Mais étant curieux de nature et aimant me cultiver : tant mieux
    Apprendre et lire c'est toujours un bonheur merveilleux
    Ton article est vraiment intéressant surtout que je connais le lieu
    Je ne savais pas qu'il y avait un poisson chevalier : un dieu
    Tes photos : belles me rappellent des souvenirs heureux
    La richesse de ce lac vert faune, flore, etc un atout sérieux
    C'est un magnifique lac naturel aux couleurs vertes et bleus
    Merci chère Méline de cet article oh! combien précieux>
    Douce journée toute en bleu
    Bisesssssssssssssss
    Claude

    13
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 11:43

    grandioses tes photos !!! mais je dois avouer qu eje n'ai pas eu le courage de lire la suite .... LOL

    Biz

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    14
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 11:47

    bonjour Méline,

    Une région magifique que je ne connais pas . Mais qui mérite vraiment un détour en période de Vacances a voyant ses superbes photos. Je vois que la baignade est autorisé , mais l'eau doit être peut être un peu froide. Je vois aussi que la sécurite doit être de mise car avec de telle profondeur , le sauvetage est difficile. Merci aussi pour ce trés bel article comme tu sait nous les faire ,trés complet.

    Je tesouhaite une bonne journée

    amitiés

    15
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 14:40

    bonjour Méline , que de belles photos de ce beau lac  , je m'en rappelle bien !  j'ai commençé à lire  mais trop long  lol lol lol 

    merci pour toutes ces infos   moi j'ai beaucoup aimé ce lac !!!  bisous bel am  A+

    16
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 15:17
    nays1

    Bonjour Mel

    que cadre grandiose il est superbe il doit faire bon s'y trouver en pleine nature

    Mel je suis incapable de lire tout le texte a cause de mes yeux je lis en diagonale  bien d'y avoir mis des égouts  la pollution :o((

     

    douce journée Mel

    gros bisous et a la puce ♥

    17
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 18:13

    Quest-ce que c'est beau, les couleurs de l'eau du lac .. les montagnes  ! la Savoie magnifique

    Tu m'a fait rigolé avec ton com sur mon blog ! hi hi .. tu t'en bats la couette ... excellent ! toi tu as ta folle, moi aussi mais je crois que la mienne est pire et en plis d'une méchanceté inouïe ...

    Bises Méline, contente de te retrouver hé hé

    hi hi ... j'ai eu des soucis avec ma petite fille ce jour, elle a désobéit et nous a fait peur ! pas facile de garder des enfants !!!

    18
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 18:17

    Je découvre à l'instant que tu as remis de belles photos !

    Bonne soirée chère Méline

    Gros bisous

    Claude

    19
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 18:39

    Bonjour Méline

    Je voudrais avoir cette vue là tous les jours devant mes yeux, c'est trop beau.

    Merci pour ce magnifique partage

    Je te souhaite une belle soirée

    Gros bisous

    @lain

    20
    Papotinette
    Mercredi 2 Octobre 2013 à 21:30
    Papotinette

    Quelle belle vue !

    Je t'avoue que je n'ai pas tout lu... mais je suis bien fatiguée par ma journée !

    J'admire toujours tes superbes photos et ça me fait un bien fou ces vues splendides !

    Gros bisous gentille Méline



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