Le 06 - 10 - 20
Le Futuroscope
Le Pavillon - Emblème du Futuroscope !
Le Pavillon du Futuroscope
Le Pavillon du Futuroscope, symbole du Parc, est le tout premier pavillon, dont la construction a débuté le 11 décembre 1984 par la pose de sa première pierre par René Monory, président du Conseil Général de la Vienne et père du projet. Au tout début du projet, en 1983, seul ce bâtiment été envisagé. Il devait présenter au public les réalisations du département en matière d'informatique et de NTIC. Ce bâtiment en projet fut nommé Observatoire du futur, puis Futuroscope, avant même la décision de créer un espace plus vaste, le Parc du Futur en 1985. Puis, par extension, le nom Futuroscope a qualifié le parc en ensemble dès son ouverture en 1987. Le bâtiment « Futuroscope » a donc été renommé, plus ou moins subtilement « Pavillon du Futuroscope ».
Inauguré à l'ouverture du Parc le 31 mai 1987 par René Monory, il a la forme d'un prisme de verre triangulaire, calculé selon les proportions du nombre d'or, sur lequel est juchée une sphère blanche en polyester armé de 17,20 mètres de diamètre, assemblée en quartiers d'orange. Sur cette dernière, le logo du Futuroscope est projeté dès la tombée de la nuit. Les 1 200 m² de verrière culminent à 27 mètres au-dessus de la colline. À l'intérieur du pavillon, une tour intérieur de section carrée, l'autel de la technologie, supporte la sphère. Dans les premières années d'existence du pavillon, cette tour comportait un ascenseur intégré à une mini-attraction, Christophe Colomb et la découverte des infinis. Cet ascenseur permettait aux visiteurs d'accéder en guise de final à l'intérieur de la sphère, où était projeté un ciel étoilé.
Cet édifice, celui que l'on repère le mieux depuis la route, représente un coucher de soleil sur des horizons toujours changeants, l'appentis de verre indiquant que l'Homme doit faire des mutations pour avancer toujours plus loin vers l'avenir.
Mes chers amis, J'attire votre attention sur vos réponses à mes commentaires que vous écrivez sur vos blogs je ne vais jamais les lire l